Depuis la panne du 14 avril, survenue sur la chaudière de l’usine de Grand-Anse, Marie-Galante vit au rythme des atermoiements du feuilleton de la campagne sucrière 2021.
Entre la proposition de transfert des cannes vers Gardel, les manifestations de planteurs, ouvriers, citoyens et acteurs économiques, le blocage du test de faisabilité et les tensions entre les différentes parties, la situation semblait embourbée. Mais un ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.